Le hors-série du journal PSM (Protection Sécurité Magazine) a profité d’un interview de Servan LÉPINE sur le contrôle d’accès pour écrire un article de 3 pages sur la sécurité lors de la gestion des flux.

 

PSMlogo

 

 

Gestion des flux de personnes : entre enjeux et difficultés

Depuis les événements du 13 Novembre 2015 notamment (attaques terroristes aux abords du Stade de France, puis plus tard dans la soirée dans la salle du Bataclan), la presse spécialisée – ou non -, s’intéresse de très près à la sécurité du public à l’entrée des lieux publics, mais aussi des administrations et autres sites obligeant les personnes à témoigner d’une autorisation de pénétrer pour pouvoir aller et venir sur ce site, dans tels ou tels bâtiments, ailes…

 

L’enjeu est de sécuriser le(s) public(s) qui viennent à un concert, à un salon, dans une entreprise ou encore une administration.

La difficulté est que chaque site fonctionne selon sa propre organisation, son implantation, sa configuration, ses complexités, ses horaires (variables selon les saisons), ses besoins en main d’oeuvre plus ou moins élevés…

 

Comme le rappelle Servan LÉPINE : « Il faut ici rappeler que toute société qui souhaiterait avoir recours à une entreprise de sécurité privée pour assurer le contrôle et la sécurité des flux de personnes sur son ou ses sites, doit se garder de toute adaptation d’une solution toute faite à son mode de fonctionnement. Ne serait-ce parce que les flux de personnes – salariés ou publics, voire les deux – vont connaitre des variations durant la journée, la semaine et différentes périodes de l’année. »

 

 

Mieux vaut-il privilégier un filtrage humain
ou une gestion des flux électronique ?

« Tout est affaire d’arbitrage » comme le souligne Servan LÉPINE et de continuer avec « la gestion des flux repose sur un arbitrage assez fin entre technologies et moyens humains ». Le choix entre le tout humain, le tout machine ou le mélange des deux, est donc à réfléchir avec minutie.

 

Le mieux est d’associer les moyens techniques et humains pour pouvoir moduler le niveau de sécurité dans la gestion du contrôle d’accès et des flux de personnes selon l’évolution et le temps.

 

 

Cliquez sur la couverture pour accéder à l’article complet